Santé sexuelle : les bons réflexes pour prévenir les IST

Santé sexuelle : les bons réflexes pour prévenir les IST

Profiter des étreintes les plus intenses et se laisser emporter en assouvissant les désirs ne sont pas sans risques. Entre autres les Infections Sexuellement Transmissibles ou IST affectent plusieurs hommes et femmes. Et les menaces sont d’autant plus graves étant donné que certaines de ces maladies sont asymptomatiques. Il a toutefois des gestes simples à la portée de tout le monde qui peuvent les prévenir.

Bref rappel sur l’IST

Il existe deux grands types d’IST. Quatre maladies les plus fréquentes sont d’origines bactériennes et qui sont principalement la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose, le trichomonas. Les quatre autres sont virales comme l’hépatite B, l’herpès génital et le VIH et le papillomavirus humain ou VPH. Ces derniers sont parfois difficiles à guérir ou incurables. Les deux partenaires peuvent avoir des maladies sans que l’un ou l’autre présente des symptômes. Il est très recommandé d’avertir son partenaire en cas d’infection. Les IST sont très contagieuses et se transmet même en dehors des relations sexuelles ce qui peut déstabiliser la confiance entre couples.

Vigilance pour un nouveau partenaire

Si le nouveau partenaire tente de vous dissuader de sa situation sanitaire, il est impératif de cerner que seuls les résultats d’examen peuvent l’attester. Mais même si on vit une sexualité en dehors des organes génitaux sachez que les mains, bouche, linges sales sont des vrais facteurs de transmission. Il est ainsi essentiel qu’on reste vigilant face à un nouveau partenaire. Convaincre son partenaire de se faire examiner est ainsi primordial.

Être prudent au quotidien

Comme énoncés précédemment, les linges sales ou mal lavés sont des niches à bactéries, champignons ou virus. Chaque personne est invitée à disposer des affaires qui lui sont propres et à limiter l’emprunt à ceux des autres. En effet, il y a des ustensiles délicats comme le rasoir, les seringues d’injections, les brosses à dents, les lingeries et sous-vêtements qui sont en contact direct avec les parties contaminées ou créent des blessures ; premier facteur de transmission. La fréquentation des vestiaires ou toilettes publiques peut aussi exposer à des risques non négligeables.

Des contrôles réguliers

Les examens des gynécologues annuel ou biannuel sont recommandés afin de ne pas s’attarder sur l’aggravation des conséquences des infections sexuellement transmissibles qui sont asymptomatiques. Il est conseillé de se faire suivre en cas de signes récidives ou permanentes telles les douleurs pendant les relations sexuelles, celle de la miction, les écoulements vaginaux anormaux, l’apparition des boutons au niveau des parties génitales et la diminution de l’immunité. De tels examens ne sont pas obligatoirement payants, il faut se renseigner sur les éventualités de leur pris en charge gratuite.

Se renseigner sur les préventions médicales

Le préservatif a toujours été efficace autant pour prévenir une grossesse indésirable que des infections sexuellement transmissibles. Certains types d’infection comme l’hépatite B ont toutefois fait l’objet d’un vaccin. À titre de rappel, cette maladie attaque le foie et est souvent difficile à traiter. Par contre, le sida, la mononucléose, les herpès et la chlamydia sont jusqu’à maintenant sans vaccin.

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